Même si le ton que j’emploie est assez systématiquement très libre, voire parfois même virulent, à bien observer ce que j’écris dans ces lignes, je veille à m’en tenir surtout à des constats de faits et des réflexions logiques, quand bien même ces constats ou ces réflexions sont très colorés.
La coloration vient du fait que je suis plus que souvent agacé de voir combien d’écrits et plus encore de politiques sont incohérents et incohérentes d’une part, et combien sont minimisées quantité d’informations qui mériteraient un tout autre traitement. Exemple: quand Steven Koonin, scientifique ayant consacré sa vie au climat, ancien conseiller de M. Obama sort un livre critique de la politique écologique et surtout de la négation de bien des aspects scientifiques de la question, personne n’en parle dans la presse de masse, laquelle semble hostile à tout débat, à toute confrontation de points de vue. D’un autre côté, c’est aussi ce qui donne à cette lettre l’opportunité d’exister et une raison d’être.
Une fois n’est pas coutume, je vais donner une « vraie » opinion.
En prime, il y aura un petit jeu, à la fin, pour ceux qui auraient peur de s’ennuyer durant leurs longues soirées d’hiver…
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