James Stavridis.
Il est amiral en retraite au sein de l’armée US. Il a passé l’essentiel de sa carrière en Mer de Chine et dans l’Océan Indien, où il a commandé sa première frégate (type Aegis) à l’âge de 34 ans.
Son dernier poste ? Chef suprême de l’OTAN. A noter, pour rappel, que le Commandant en Chef des Forces Armées Américaines en Europe (dont le siège a été transféré récemment de Baden-Baden, en Allemagne, à Mons, en Belgique) est, statutairement, donc de droit, le chef suprême de l’OTAN, les Secrétaires Généraux (il y en a quatre) étant là pour la communication et l’opinion publique. Interesting, isn’t it ?
James Stavridis est aussi conseiller (pour les questions militaires, of course) de la Maison Blanche et il se trouvait sur la très short-list des possibles Vice-Président de Monsieur Biden.
Pour être complet, signalons qu’il est aussi administrateur de… Carlyle Group.
Pourquoi est-ce que je vous en parle ?
Parce qu’il vient d’écrire un livre. Ce livre concerne Taïwan, mais bien au-delà, il nous concerne tous.
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