Sensations, vérifications, télémigrations et futur proche

Perluciditas s’est rendue la semaine dernière à Paris, au salon « Vivatech », le salon des « start up », premier salon rouvert en présentiel et fortement médiatisé, notamment parce qu’il avait été ouvert en présence de Monsieur Macron, himself.

Rappelons que Monsieur Macron, qui, ce faisant oublie un peu la Loi « Toubon » sur la protection de la langue française, se veut le parrain de la « start up nation ».

Quoiqu’il en soit, sur place, nous avons découvert un seul des gigantesques bâtiments de la porte de Versailles, qui n’était de surcroît occupé qu’aux trois quarts et très essentiellement par…des institutions publiques telles : la région Grand Est, la Picardie, la Région Wallonne…

Sur chaque stand, plusieurs salariés (fonctionnaires ? essentiellement, selon toute vraisemblance) de ces régions, et des bureaux mis à disposition de toutes petites micro start-ups, dont beaucoup nous ont semblé positionnées sur des marchés déjà matures (services digitaux au secteur du droit et de la finance,…).

Seuls les stand de la Suisse (seul pays étranger présent avec la Belgique… alors que le salon était censé se dérouler intégralement en anglais) et celui de Huaweï étaient réellement impressionnants avec des nouveaux matériaux, des robots capables d’assembler des pièces avec des degrés de précision inouïs, des outils informatiques très en avance sur leur temps,…

A notre retour, nous avons voulu vérifier quelque peu le sentiment que nous avions eu sur place, qu’il y avait surtout beaucoup de bruit autour de cette nouvelle économie…