Dans une chronique du Figaro, Dominique Reynié a souligné que la cause en était sans doute que les électeurs considéraient que ça ne servait plus à rien d’aller voter.
Comment lui donner tort ? Des minorités agissantes imposent leur loi en dehors de tout scrutin.
Les élus se refusent obstinément à parler librement de l’immigration alors que c’est peut-être la préoccupation principale des Français. Ils sèment partout des éoliennes dont tout le monde sait qu’elles contribuent à amener la production de plus de CO2 et ré-installent des radars sur les autoroutes, là où c’est largement le moins utile en termes de sécurité routière et là où les gilets jaunes en ont détruit entre 60% et 90%.
Difficile de continuer à faire croire aux électeurs qu’ils sont encore dans un système qui est sensé relayer les aspirations du plus grand nombre !
Mais,… je ne vois pas l’ombre d’un commencement de début d’auto-critique chez nos élus.
Tout ceci plus une gifle qu’aucun chef d’état n’a jamais pris auparavant tout au long de l’histoire de France, il faut quand même être sérieusement animé d’une farouche volonté d’aveuglement pour ne pas se sentir déconnecté, ni sentir que dans un pays qui a parfois le sang chaud, ça risque de barder !