Le précompte mobilier frappe les revenus des capitaux (dividendes et intérêts), ainsi que ceux d’actifs intangibles (redevances, droits d’auteur).
En 1962, le précompte mobilier est fixé à 12,5% (heureux ceux qui s’en souviennent). Passé assez rapidement à 15%, il connaît ensuite une très longue période de stabilité (dommage pour ceux qui espèrent son retour). Aujourd’hui à 27%, il va bientôt passer à 30%. Cette augmentation s’inscrit dans le cadre d’une harmonisation européenne des taux de retenues à la source. L’objectif de l’Union qui, sur ce genre de thématique se comporte plus comme ces cartels qu’elle entend interdire, est d’arriver à un objectif de : 35%. Partout.
Selon jours, un taux de 30% représente une barrière psychologique, et il va très certainement induire des choix : une partie des investissements qui constituent la base de financement de l’état va se trouver réorientée. Et pour les particuliers ? Pour les propriétaires de PME ? Quels choix ?
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In 1962, property tax was frozen at 12.5% (happily, for those who remember it). It moved relatively quickly up to 15%, shortly after which it experienced a very long period of instability (sadly, for those who awaited its return). At 27% nowadays, we may soon see it rise to 30%. This increase falls under the pretence of European standardisation of pay-as-you-earn (PAYE) tax. The objective of the EU, who in this shift are beginning to resemble the business groups it is targeting, is to reach a goal of: 35%. Everywhere.
On a day to day basis, a tax rate of 30% represents a psychological barrier, almost certainly resulting in one of several choices: a proportion of the investments which make up the base of state finance will find themselves displaced. What about individuals? Or owners of small and growing businesses? Which choices need to be made?
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