Relevée par la presse française et très peu par ailleurs, cette petite phrase de Trump lors du volet public de son entrevue avec la CIA : « En Irak, on aurait dû garder le pétrole, mais peut-être aura-t-on une autre occasion. » Il est partout, cet homme-là. Affaire à suivre, là aussi. Il veut faire remonter les cours ? Ce sont les Etats-Unis, donc un peu lui, qui les tirent vers la baisse. M’étonnerait qu’il aille à nouveau s’embourber au Moyen Orient, sauf à chercher uniquement de priver l’Europe et la Chine de leurs puits de prédilection.
Le baril de pétrole s’inscrit en effet en baisse ce lundi. En cause la publication du nombre de puits en exploitation aux Etats-Unis, qui a atteint 551 la semaine dernière, niveau le plus élevé depuis 2013, selon les données publiées par Baker Hughes (la société à l’origine de « l’aviateur », pour les cinéphiles et historiens avertis).Reported by the French press and not much elsewhere, this short sentence of Trump during the public part of his interview with the CIA: « In Iraq, we should have kept the oil, but maybe we will have another opportunity. He is everywhere, that man. Case to follow, too. He wants to go back to school? It is the United States, and therefore a little bit him in fact, who are pulling them down. I would be surprised if he went back to the Middle East again, except to seek to deprive Europe and China of their favorite wells.
The barrel of oil fell down on Monday. The reason is the publication of the number of wells operating in the United States, which reached 551 last week, the highest level since 2013, according to data published by Baker Hughes (the company behind the « aviator”, for cinephiles and informed historians).