Imaginons le monde merveilleux de M. Marx, revisité par Monsieur Keynes.

En observant, bien plus qu’on ne va l’imaginer, le point commun entre ces deux-là, on pourrait bien s’apercevoir que certaines conceptions sur lesquelles reposent aujourd’hui la plupart de nos organisations étatiques, mais aussi notre vision du monde, sont erronées et à revoir.

Pas uniquement pour le plaisir de spéculer intellectuellement, mais aussi dans une logique que d’aucuns qualifieraient de « développement personnel ».

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