Récemment, la guerre en Ukraine a creusé des tensions entre les deux pays, notamment autour de l’énergie et de la défense.

C’est très discret, mais en ce qui concerne la défense, relativement indépendamment de la politique, ou en tous cas de celle de l’Elysée, l’armée française semble plus qu’encline à se rapprocher de ses alliés historiques Britanniques que de ces teutons qui, depuis 1870, sont… comment dire,… très conscients de leurs intérêts propres, voire très franchement centrés sur eux-mêmes, à l’exception des moments où ils ne sont pas affaiblis.

L’Entente Cordiale suggérée par Charles VII est déjà bien plus « en marche » (avec jeu de mot) qu’on ne pourrait le croire, ayant reçu un écho anticipé chez les gradés, des deux côtés de la Manche depuis que l’Allemagne avait manifesté l’idée non seulement de se ré-armer, mais aussi de (re-)devenir la première armée d’Europe.

Ce petit mot, souvenez-vous en, avait valu une « standing ovation » de près de dix minutes au BundesKanzler Scholz, au sein du Bundestag, juste avant que l’Allemagne ne dégage des sommes astronomiques pour acheter du matériel quasi-exclusivement Américain, tout en précisant qu’elle fabriquerait bientôt tout elle-même… « à l’ancienne », en quelque sorte.

Quoiqu’il en soit, en augmentant sa taxe de mise en circulation avec un bonus écologique qui monte assez vite jusqu’au plafond de 50.000 euros (oui, oui, 50.000 euros), la France va déjà, de facto, fermer très largement son marché à l’industrie automobile allemande, laquelle, entre autres difficultés, ne dispose déjà plus du marché Russe…

Mais ce n’est pas tout.

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