« ESG » Ecologiquement, socialement et du point de vue la gouvernance, jugés « responsables », ce sont les investissements à la mode, poussés par toutes les banques, toutes les maisons de gestion…
Au point que les entreprises qui ne sont pas labellisées « ESG » éprouvent des difficultés de financement de plus en plus importantes.
Pas question d’investir dans l’armement et dans le pétrole, au point que bientôt, on aura du mal à se déplacer, tandis qu’en raison du caractère excessif et déraisonnable de cette mode en Occident, il sera beaucoup plus facile de nous envahir ou de nous contraindre, mais on sera « EGS », ou « ESR » certifieds (ESR : Ecologiquement et Socialement Responsables).
Car, bien sûr, il y a des « labels » ESR, décernés par on ne sait pas trop bien qui, en vertu d’on ne sait jamais trop bien quoi non plus. Mais tout le monde les suit. Comme les agences de notations payées parc eux qu’elles notent et, pour la plupart, impliquées dans tous les scandales financiers depuis Enron sans que ça change ces « réflexes » d’un iota.
Et même dans un milieu financier saturé de personnes Bac +5 et plus, les « labels ESR » et « ESG » marchent mieux que des fake news, puisque quasi personne ne vérifie jamais rien et que si on faisait quelque chose de vraiment différent de son voisin, on pourrait nous le reprocher… ça en dit long sur le côté moutonnier du secteur.
Une preuve que ça marche très fort, que personne ne vérifie jamais rien et que personne ne sera responsable ?
C’est en ce moment même, sous le nez de tous et toutes.
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