La fiscalité sur le patrimoine augmente.
En France, le quotidien « les echos » nous apprenait lundi qu’en raison de l’augmentation de la valeur des patrimoines, surtout, mais aussi en raison de modifications législatives, les droits de succession ont augmenté de 60% depuis 2012.
Toujours selon les échos, les prélèvements obligatoires passent la barre des mille milliards d’euros, en France,… pour 2017.
Pour 2018, la Cour des Comptes estime que le pays se dirige gentiment vers les 1060 milliards. Or, il n’y a pas eu 6% de croissance dans le pays, donc…
Ça, c’est un fait.
En voici un autre : l’ENA est au bord de la faillite. Intéressant : l’école des « gestionnaires » en faillite. Mais, beaucoup plus intéressant : rien n’est fait pour redresser la barre.
Pour ceux qui auraient encore un vague doute, nos dirigeants non seulement ne dirigent plus grand’chose, mais il semblerait que même comme gestionnaires on soit en droit de se poser deux ou trois questions relativement légitime, me semble-t-il.
Pendant ce temps-là, en Allemagne, en Suède ou en Suisse, avant de prévoir quelque dépense que ce soit, à tous les niveaux de pouvoir, il y a une discussion sur la source de financement de ladite dépense.
Ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain : Philipp Hildebrand (qui ? L’ancien président de la Banque Nationale/Fédérale Suisse) défend les réformes de M. Macron : selon lui, les changements opérés en ce qui concerne le marché du travail et les impôts ne peuvent qu’être bénéfiques à la France.