Nigel Farage, qui n’est pas seulement un Brexiter, mais qui sait de quoi il parle puisqu’il est Eurodéputé, s’était déjà fait remarqué dans des discours, devant le Parlement Européen, à l’occasion desquels il avait notamment fait remarquer à ses collègues qu’ils n’avaient jamais rien entrepris, ni encore moins réalisé (forcément) et que s’ils se plaisaient à donner des leçons à tout le monde, notamment en matière de paraids fiscaux, c’était d’autant plus honteux qu’eux-mêmes, ne payant pas d’impôt, vivaient au sein du plus grand paradis Offshore de l’Union Européenne.
Dans la même veine, et comme on pouvait s’y attendre, il a prononcé pour la dernière fois dans l’hémicycle Européen, un discours qui s’inscrivait dans le cadre du Brexit et était donné à l’occasion de celui-ci. Ce qu’il vaut mieux voir comme extrêmement amusant, c’est que c’est au moment où il dit que l’Angleterre était parfaitement d’accord d’adhérer au marché commun, mais pas pour autant à des structures qui fonctionnent de plus en plus de façon dictatoriale qu’on lui coupe le micro !
L’Angleterre ne contribuera plus au budget de l’Union (mais pas un seul fonctionnaire Européen d’origine Britannique n’est viré… intéressant aussi, ce léger détail). Cela fera de sacrées économies pour l’Angleterre qui pourront d’autant plus être investies en Angleterre. Cela fera 17% de recettes en moins pour l’Union (qui, en outre, a chois d’augmenter son budget !?!?).
La charge va donc être répartie sur ceux qui restent, selon le poids de leurs économies respectives dans l’Union. La France va donc se retrouver, sans parler des augmentations de budget, avec 7 milliards en plus à payer par an à l’Union. Il va bien falloir les trouver quelque part.
Petites questions générales.
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