Si on augmente la quantité de monnaie, dans un pays, on ne crée pas plus de richesse pour autant.
Si, parallèlement à cette création de monnaie, on ne crée pas de richesse, on fait juste baisser la valeur de la monnaie, et c’est tout.
Ça me paraît TRES facile à comprendre.
Zone euro : déficit d’offre (= de production) de biens et de services, mais aussi de travail (surtout comparé à l’Amérique du Nord, au Japon et à l’Australie, soit les autres membres à développement comparable au sein de l’OCDE): comme quoi, quand je dis qu’on ne produit plus grand’chose d’autre que des fonctionnaires, il semblerait que ce soit plus un constat de fait qu’une opinion.
Question : y a-t-il un pays où cette brillante technique a fonctionné ?
Variante : imaginons un pays où le BAC est obtenu par plus de 85% de la population (France, 2023), alors qu’il ne l’était que par 30% au début des années 50 ? Si ce brillant résultat a été obtenu simplement en abaissant la barre, on n’a pas créé plus d’intellectuels, on a juste dévalorisé les diplômes. C’est tout.
Inflation de (fausse) monnaie, inflation de (faux) diplômes : je vous invite à y penser, à y réfléchir et à imaginer quelques autres secteurs où cette politique de faussaires a été et continue d’être délibérément mise en œuvre.
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