Investir, aujourd’hui, comme hier, c’est se tourner vers 5 catégories d’actifs : le cash, les actions, les obligations, l’or et enfin, l’immobilier.
Or, si tout le monde sait que nous nous dirigeons inéluctablement vers une nouvelle crise, personne ne sait ni d’où elle viendra, ni quand, ni quelle sera son ampleur. Sur ce dernier point, toutefois, tout le monde s’accorde à prévoir une crise « à plusieurs étages » : ainsi par exemple, une crise financière déclenchée par les crédits autos aux USA aurait immanquablement des répercussions sur l’économie mondiale, d’abord, mais aussi sur l’euro, monnaie dont la crise n’est pas résolue.
Malheureusement, tout le monde s’accorde aussi quant au fait qu’il existerait quantité d’éléments accentuant et aggravant d’un éventuel retournement de tendances, tels les ETF et les Trackers, ces produits financiers qui, en les dupliquant, accroissent plus que considérablement les indices, et ont donc un effet d’entraînement sur le cours des valeurs les plus importantes de la cote, … dans les deux sens.
Dans un environnement pareil, investir « ne bon père de famille », revient à envisager de piloter un véhicule qui aurait des pneus lisses sur une route verglacée, en envisageant d’effectuer des zig-zag entre des snipers.
A contrario, ne pas investir, rester immobilier et pétrifié en se répétant que « ce n’est sûrement pas le moment », c’est aussi reculer.
Dans ces circonstances, que faire ?
Lire la suite de cet article constituerait sans doute un bon début.
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