Exploitation minière des fonds marins et évolutions industrielles majeures

Logique et annoncée de longue date par Perluciditas, l’exploitation minière à grande échelle se multiplie.

Il y a peu, la Norvège autorisait ce dans quoi les canadiens vont se lancer aujourd’hui.

Le Pacifique n’est pas en reste.

On ne va pas chercher que des métaux, dans les fonds des océans, mais aussi, et c’est plus « traditionnel », du gaz et du pétrole (toujours en Norvège, premier fournisseur de l’UE).

Les fonds marins, ce serait l’avenir. L’hydrogène, sans doute aussi. L’entreprise Technip est présente dans ces deux métiers. Vous trouverez le nom des autres, au fil des articles vers lesquels je renvoie.

L’actualité énergétique, c’est aussi des sanctions russes qui deviennent de plus en plus effectives. Parallèlement, ce sont aussi des normes énergétiques qui vont faire baisser les importations de gaz liquéfié américain.  Cela va raréfier et renchérir encore un peu le gaz en Europe, Zeebruges, première plaque tournante, étant touchée immédiatement.

Pour ceux qui fondent y compris leur production électrique pour le gaz, les coûts européens, qui pèsent déjà bien trop lourdement sur la compétitivité internationale de la zone, vont encore se renchérir.

C’est d’autant plus dommage que, sous l’impulsion de l’extension de l’IA, par exemple, les besoins de production électrique, pour parler d’une autre énergie, sont en train d’exploser de façon exponentielle.