Pour son « choc de simplification » administrative, le gouvernement français a présenté ce vendredi un dossier de presse de 68 pages… | Ni Moody’s, ni Fitch n’ont dégradé la note de la France. Les chances de faire défaut sont faibles : pendant que l’état dépense à tort et à travers sans jamais se sentir responsable de rien, les particuliers et les entreprises françaises épargnent et constituent donc les premiers garants du pays, juste devant les états vertueux de la zone euro. Pour qui lit un peu les rapports des agences, c’est quasi en toutes lettres et ce n’est donc pas une bonne note du tout pour les dirigeants français. Ce gouvernement (et les précédents) éprouve des difficultés à masquer qu’il ne sait pas bien comment le pays va rembourser sa propre dette. Les spécialistes du droit des créanciers, eux, savent… Ils savent que tôt ou tard, le contribuable paiera. Cette fois-ci, c’est écrit en toutes lettres, donc tôt ou tard, quand ça arrivera, si vous ça vous tombe dessus, vous ne pourrez pas pleurer. | Espagne : Pedro Sanchez a donc failli perd son siège de Premier ministre (pas pu m’empêcher…). | Stellantis numéro Un français en matière de brevets, tous secteurs confondus. Numéro un européen de son secteur (automobile). Impressionnant ! | La France, championne du monde des charges patronales les plus lourdes, dixit l’OCDE. | Les paiements en espèces ne sont appelés à disparaître à brève échéance qu’au-delà de 10.000 euros.
