Ceux d’entre vous qui nous lisent chaque semaine se souviendront peut-être que le réchauffement climatique n’est qu’une théorie qui ne fait consensus qu’au niveau de la politique dominante, pas au niveau scientifique.
À ce niveau, la probité et la modestie dominent encore plus lorsqu’il s’agit d’expliquer les « causes » d’une « modification », d’une « phase de mutation » (pour ceux qui envisagent le temps long) ou d’un « dérèglement climatique »…
Parmi les différentes théorie, il en est une qui a ma préférence, car elle se base sur une pure logique d’observation : des scientifiques anglais (qui, par ailleurs, gagnent des paris sur ce sujet depuis trente ans, avec une régularité d’horloge, auprès de Bookmakers Londoniens), ont observé que les phases de réchauffement que nous pouvons ressentir sont surtout liées, depuis la fin des années 80, à des explosions solaires.
La chaleur dégagée nous arrive avec un décalage d’une à deux semaines, selon l’intensité desdites explosions, ce qui est évidemment très commode pour effectuer des paris à propos de la météo.
Plus sérieusement et sur le plan scientifique, ils pensent que ces explosions ayant été très nombreuses et très violentes depuis trente ans, il est très possible que le calme qui devrait suivre la tempête à partir de 2030 nous amène à nouveau vers une mini ère glaciaire. Bien qu’il s’agisse de théories anglaises, donc d’autant plus suspectes aux Continentaux depuis qu’Albion est Brexiter et encore plus suspectes lorsqu’on sait que l’analyse est celle qui domine chez les scientifiques, Russes, même Le Figaro en a parlé.
Dans le même registre, savez-vous qu’à l’instar de beaucoup d’autres, pas moins de, tenez-vous bien, 236 satellites de la constellation Starlink ont disparu, sans qu’on ait aucune explication ?
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