La Birmanie vient d’opter pour la démocratie. Elle abandonne la dictature militaire. C’est sa transformation la plus visible, même si elle est nettement moins médiatisée que ne l’était, il n’y a pas si longtemps, l’obtention du prix Nobel de la paix par Aung San Suu-Kyi.

La Birmanie sera très probablement, en 2017, une nouvelle terre de tourisme, voire aussi un nouvel Eldroado asiatique. L’économie du pays était totalement nationalisée. L’isolement était total. A bien des égards, ce qui s’observe aujourd’hui sur place a pu l’être en d’autres temps récents chez plusieurs nations voisines qualifiées de Dragons. La Birmanie prend le train de ses voisins un peu en retard, du fait précisément d’un isolement voulu par le régime politique qu’elle vient d’abandonner. Les modes de vie traditionnels ont perduré. Rudyard Kipling et Orwell en faisaient déjà des descriptions à couper le souffle. On peut donc raisonnablement supposer, puisque rien n’a bougé, ou presque, que c’est toujours très joli, quoiqu’un peu rude encore à découvrir. Il n’y a quasi pas de routes. On circule largement par voies fluviales. Les infrastructures hôtelières sont… encore un bien grand mot, pour l’instant. Par ailleurs, on parier sans trop de risque de se planter que c’est rempli de bonnes affaires, comme tout bon pays qui abandonne le communisme.

Si vous voulez découvrir un peu plus pourquoi, à notre avis, dans sa rubrique « Voyages », le dernier « Juliette et Victor » (magazine franco-belge – éd. Jan-fév. 2017) titre « la Birmanie, c’est maintenant », lisez la suite. De toutes façons, si vous ne lisez pas celui-ci, soyez certain que vous verrez beaucoup d’articles concernant ce pays cette année.

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Burma has just opted for democracy. It abandons the military dictatorship. It is its most visible transformation, although it is much less publicized than when Aung San Suu-Kyi  was awarded the Nobel Peace Prize not so long ago.

Burma will most likely, in 2017, become a new tourist land, or even a new Asian Eldorado. The country’s economy was totally nationalized. The isolation was total. In many respects, what has been observed on the spot may have been observed in other recent times in several neighboring nations called Dragons. Burma takes the train with its neighbors a little late, precisely because of an isolation wanted by the political regime that it has just abandoned. Traditional lifestyles have continued. Rudyard Kipling and Orwell were already making their breathtaking descriptions. One can therefore reasonably suppose, since nothing has moved, or almost, that it is always very pretty, although a little rough and it is yet to be discovered. There are hardly any roads. The river is the most common way of transport. The hotel facilities are … still a big word, for now. Besides, we bet, without much risk of losing, that it is filled with good business, like any good country that abandons communism.

If you want to understand a bit more why, in our opinion, in its section « Voyages », the last « Juliette and Victor » (a franco-belgian magazine – ed Jan-Feb. 2017) has an article titled « Burma is now « , continue reading. Anyway, if you do not read this one, you can be certain that you will see many articles about this country this year.

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