9 milliards sous les mers : c’est le prix à payer pour développer le « Barracuda », la nouvelle classe de sous-marins nucléaires lanceurs d’engin « d’attaque », ce qui permettra à la France, depuis Cherbourg, de rester dans le club très fermé des puissances nucléaires et navales : USA, Russie, Chine.

Il faut noter que la Grande Bretagne se laisse distancer depuis un moment et, à l’aune de l’augmentation de taille et de performance des concurrents, non content d’en aligner plutôt moins en nombre, le Royaume-Unia surtout des sous-marins qui sont à la limite devenus, au fil du temps, des sous-marins « de poche », comparés à ceux des trois autres joueurs (tous membres permanents du Conseil de sécuriét de l’ONU, avec la Grande Bretagne, précisément)/

Par-dessus le marché, pour effectuer un tir (à plus courte portée, donc), le Royaume a besoin de l’assentiment de tout le Common Wealth…  La France dépasse donc son éternelle rivale… sous les mers.

Quoiqu’il en soi, le développement du Baracuda a de quoi donner à la France un certain poids politique.

Economiquement, le club dont fait partie l’Etat Français est un tant soit peu moins prestigieux.

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