plus le GIEC et consorts sortent des rapports sur le climat, plus je me demande dans quelle mesure ce sont des scientifiques ou des scénaristes de film catastrophe qui bossent dans ces milieux.
Notez que son excellent « storytelling », Monsieur Salmon expose que c’est précisément en période de récession que les sociologues ont observé que la population goûtait le plus les films catastrophes.
L’explication est la suivante : voire le pire rassure l’humain sur son propre sort et l’incite à voir le bon côté des choses. Statistiquement, Monsieur Salmon démontre que les films catastrophes, pas seulement parce qu’ils se vendent mieux à ce moment-là, mais aussi en raison de leur effet calmant, sont surtout produits en période de récession économique.
Outre que pousser chacun à la déconsommation pour des raisons qui relèvent encore largement de l’ordre de la conviction pure est un bon moyen de faire passer la pilule de la transition énergétique, « l’effet calmant » en question me paraît être un avantage collatéral du matraquage dont le sujet fait l’objet.
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